Le samedi 21 décembre 2024
[En français plus bas]
E Breizh, nozvezh Nedeleg zo bet a-viskoazh danvez kontadennoù ha mojennoù... Kontañ a rae zoken ne oa ket c’hoant an Tad-Nedeleg, e-pad kantvedoù, da lakaat e dreid du-mañ ! Un abeg hepken d’an dra-se : an avel. Spont bras 'oa gantañ...Met gant ar gerioù-se ho po komprenet... Tad-Nedeleg ebet... N'eus prof ebet !
Ar mare deuet neuze eo ar vugale a gan a zor da zor er c'hêriadennoù : « Kanomp Nouel e-penn an ti... ». Kanomp Nedeleg evit un aval, ur per, evit ur banne sistr da evañ, ha degemer a raent amañ ur per, aze un aval pe un nebeud friantoù...
An istor-se eo an hini a fello da Vorwenn ha da Roland kontañ deoc'h, met divizet en deus ar Pol-Norzh en un doare disheñvel-mat, mirout a raio anezho da ziskouez an doare-se eus ar fedoù d’ar vugale !
Tad-Nedeleg zoken, ruzet, a lakaio e daolioù-pellgomz strafuilhus evit prouiñ e oar komz bremañ... e brezhoneg !
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En Bretagne, la nuit de Noël a toujours été source de contes et de légendes… Il se raconte même que, pendant des siècles, le Père Noël lui-même n’osait mettre les pieds chez nous ! A cela, une seule raison : le vent. Il en avait… terriblement peur…
Mais à ces mots vous aurez compris que… Pas de Père Noël… Pas de cadeaux !
Alors le temps venu, ce sont les enfants qui chantonnaient de porte en porte, dans les villages, ce même refrain : « Kanomp Nouel e-penn an ti… ». Chantons Noël pour une pomme, une poire, pour un petit coup de cidre à boire, et recevaient ici une poire, là une pomme ou quelques friandises…
Cette histoire-là est bien celle que Morwenn et Roland voudraient pouvoir vous conter mais le Pôle-Nord en a décidé bien autrement, et les empêchera de dévoiler cette version des faits aux oreilles des enfants !
Même le Père Noël, rusé, s’y mettra à coups de téléphone perturbateurs pour prouver qu’il sait maintenant parler… en breton !
Source des données : DATATourisme